Engagée dans une démarche de développement personnel depuis six ans, je continue de travailler et d’apprendre en participant régulièrement à des formations diverses en lien avec ma pratique, et je participe à des cercles d’intelligence collective.
La thérapie qui est exigée lors de la formation à HEC apporte la garantie que j’ai travaillé mes peurs et mes projections. C’est un préalable à l’accompagnement de l’autre. Il est en effet nécessaire de bien comprendre mes points forts, ma lumière mais aussi mes ombres afin de pouvoir assurer un terrain neutre et sain à la relation. Je poursuis ce travail sur moi aujourd’hui, en mode coaching ou thérapie afin de rester en capacité de ne pas les projeter en contre-transfert sur mes clients.
En tant que coach, j’ai de surcroît l’obligation d’être supervisée tout au long de ma pratique par mes pairs accrédités. Cette obligation vise à m’apporter un éclairage qualifié sur l’interprétation que je fais des situations de coaching que je vis. Ainsi je peux valider mes stratégies, mes intuitions et offrir à mes clients le meilleur de moi-même.
Je m’astreins à un devoir de réserve et ce que je sais de mon client n’est jamais échangé avec quiconque. Je fais silence sur les noms et toute information échangée en séance avec mon client reste dans la sphère de ma relation avec lui. Je suis tenue à la règle de l’anonymat lorsque j’évoque mes situations de coaching en supervision.
Lorsque le commanditaire du coaching est l’entreprise, le contenu des échanges confidentiels entre le bénéficiaire et son coach ne fait pas exception. L’échange avec le commanditaire est exclusivement centré sur les situations professionnelles vécues en lien avec les objectifs du coaching prévus dans le contrat et sont présentés par le coaché après préparation préalable avec le coach.